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Chaque début d’année, on se demande ce qui est vraiment bon pour nos enfants. Plus d’apprentissage, moins d’écrans, de meilleures routines… et pourtant, on oublie souvent un essentiel : les jouets.

Un puzzle peut apprendre la patience. Une petite cuisine développe le langage et l’imagination. Un camion ou une poupée ouvre parfois plus de portes qu’un jouet très éducatif.

Les enfants n’apprennent pas d’une seule façon. Ils inventent, bougent, observent, imitent. C’est pour ça qu’un jouet n’a pas besoin d’être “parfait”. Il doit juste leur donner envie d’explorer.

Et si en 2026, on offrait à nos enfants plus qu’un jouet… mais un espace pour imaginer, créer et grandir ?

Le Black Friday est né dans les années 1960 à Philadelphie, quand les rues bondées après Thanksgiving rendaient la circulation impossible. Les policiers ont alors parlé d’un “vendredi noir”.
Quelques années plus tard, les commerçants ont donné au terme un sens plus positif : c’était le moment où leurs comptes passaient du rouge au noir, signe de bénéfices.

Chaque année, à la fin d’octobre, les rues marocaines se parent peu à peu de citrouilles, de costumes étranges et de rires d’enfants. Halloween, cette fête venue d’ailleurs, trouve doucement sa place dans le cœur des familles marocaines. Mais au-delà des déguisementset des bonbons, elle révèle quelque chose de plus profond : notre envie de célébrer, de rêver, et de rassembler.

Dans les écoles, les enfants préparent leurs déguisementsa

On les voit partout : dans les parcs, les jardins, et bien sûr sur les réseaux sociaux. Les voitures électriques miniatures séduisent de plus en plus d’enfants… et de parents. Mais au-delà de l’effet tendance, elles révèlent une véritable valeur psychologique et émotionnelle.

Le phénomène est indéniable. Les ventes de voitures à batterie pour enfants explosent, et elles deviennent rapidement un rêve d’enfance incontournable. Plus qu’un simple jouet, elles ouvrent la porte à une expérience immersive unique.

Pourquoi cet engouement ? Parce que les enfants aiment im

C’est la question que se posent de nombreux parents aujourd’hui. Avec la rentrée, chacun cherche le meilleur moyen d’accompagner son enfant dans ses apprentissages. D’un côté, les tablettes séduisent par leurs applications interactives et leur promesse d’apprentissage rapide. De l’autre, les jouets éducatifs traditionnels continuent d’occuper une place essentielle dans le développement de l’enfant. Alors, que choisir ?

La tablette présente des avantages indéniables. Elle propose une multitude de jeux et d’activités ludiques, faciles à transporter, capables d’attirer immédiatement l’attention des plus petits. Mais elle n’est pas sans inconvénients. L’excès d’écran peut réduire la concentration, limiter la créativité et exposer l’enfant au risqu

Certains enfants sont déjà fatigués avant même d’avoir repris l’école. Entre révisions, achats, activités… la rentrée se prépare parfois comme une course. Comment éviter la surcharge et préserver leur équilibre ?

Je suis papa d’une petite fille de 4 ans, curieuse, pleine d’énergie, et (très) difficile à occuper plus de 10 minutes avec la même activité.
 Comme beaucoup de parents, j’ai une boîte pleine de jouets à la maison : poupées, puzzles, feutres, dinette, cubes… et pourtant, il arrive un moment où rien ne capte plus son attention.
Un jour, presque par hasard, je découvre une application éducative utilisant l’IA, recommandée par un autre parent. Elle propose des jeux, des histoires, des chansons… personnalisés selon l’âge, les préférences et le rythme de l’enfant.
Et là, c’est la révélation
Je lance l’app avec elle, sans grande conviction. Et je la vois fascinée : elle répète des mots, répond à des questions, choisit le héros de l’histoire, rigole… et apprend sans même s’en rendre compte.
Mais le plus beau ? L’IA relance aussi l’envie de jouer "en vrai".
Après un jeu sur les couleurs, elle sort ses crayons pour dessiner un arc-en-ciel.
 Après une histoire int

Il a des grandes oreilles pointues, un sourire malicieux et un regard espiègle. Non, ce n’est pas une créature de conte de fées classique… C’est Labubu, un petit monstre devenu l’une des figurines les plus convoitées en Asie et au-delà.
Créé en 2015 par l’artiste Kasing Lung, Labubu est bien plus qu’un simple jouet : c’est une icône pop née de l’imaginaire nourri par les légendes nordiques, les contes européens et les souvenirs d’enfance de l’artiste.
Une histoire artistique et émotionnelle
Kasing Lung, originaire de Hong Kong mais ayant grandi aux Pays-Bas, a toujours été passionné par les livres illustrés et les créatures fantastiques. C’est en 2013 qu’il commence à se faire connaître dans le monde de l’édition, avant de lancer en 2015 "The Monsters", une série de personnages attachants et mystérieux, parmi lesquels Labubu est le tout premier.
À ses débuts, Labubu était décrit comme espiègle et un peu chaotique, mais avec les années, il est devenu un personnage plus do

Quand le soleil brille fort et que la brise marine caresse les côtes, les familles marocaines n’ont qu’une seule idée en tête : direction la plage ! Avec un littoral qui s’étend sur des centaines de kilomètres, le Maroc est une terre de sable fin, d’éclats de rire et de souvenirs d’enfance inoubliables.

Chaque été, c’est le même rituel : on prépare la glacière, les sandwichs aux saveurs de la maison, les bouteilles d’eau fraîche et, surtout, les indispensables jouets de plage. Car pas de journée réussie sans le seau, la pelle, le ballon ou les raquettes. Les enfants, excités comme jamais, rêvent déjà de construire des châteaux, creuser des tunnels ou s’élancer pour un match de foot improvisé sur le sable chaud.

Au Maroc, les plages deviennent alors des terrains de jeux géants où se mêlent traditions familiales, jeux collectifs et moments de complicité. On y retrouve l’esprit du partage, la générosité des pique-niques sous les parasols, et ces rituels d’été transmis de